Selon un communiqué de presse du ministère des Solidarités et de la Santé, la prime de risque de 100 € nets/mensuels initiée dans le cadre du Pacte de crefondation des urgences est étendue, dès ce mois-ci, à tous les personnels non médicaux exerçant majoritairement aux urgences. Comme l'avait annoncée Agnès Buzyn, cette prime initialement dédiée aux personnels qui exercent dans les services d’urgence et versée depuis le mois de juillet aux personnels non médicaux, titulaires et contractuels, toutes professions confondues, des structures mobiles d’urgences et de réanimation (SMUR) et des structures d’urgence (SAU), vise à soutenir et mieux reconnaître leur exposition à des risques particuliers et des conditions de travail spécifiques.
Afin de répondre au besoin d’ajustement exprimé par les acteurs de terrain, le versement de cette prime est donc étendu à partir de ce mois de décembre à tous les personnels qui consacrent une majorité de leur temps de travail aux services d’urgences, y compris ceux qui sont rattachés à d’autres unités fonctionnelles, comme cela peut être le cas par exemple des brancardiers ou des manipulateurs radio, où à d’autres établissements, tels que les infirmiers de psychiatrie qui interviennent aux urgences. Selon le ministère, avec cette nouvelle étape, Agnès Buzyn confirme son soutien aux équipes hospitalières impliquées au quotidien et en première ligne dans la prise en charge en urgence de nos concitoyens
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