Quatre mois de prison avec sursis ont été requis contre l'infirmière libérale qui surveillait une malade décédée au cours d'une dialyse, à St-Lizier, en juin 2011. Son avocat a plaidé la relaxe.
Rappel des faits : Le jour du drame, lorsque l'alarme de la machine d'autodialyse retentit, une première fois, puis une seconde fois, l'infirmière a choisi de redémarrer la machine. Pour le procureur, elle aurait dû, à ce moment-là, déchirer le champ stérile opaque qui protégeait la dialyse, une sorte de gaine qui enveloppe le cathéter et permet d'éviter tout risque infectieux, particulièrement important en cas de dialyse. Elle aurait vu, alors, que la malheureuse septuagénaire était en train de se vider de son sang.
INTERNATIONAL
Infirmiers, infirmières : appel à candidatures pour les prix "Reconnaissance" 2025 du SIDIIEF
HOSPITALISATION A DOMICILE
Un flash sécurité patient sur les évènements indésirables associés aux soins en HAD
THÉRAPIES COMPLÉMENTAIRES
Hypnose, méditation : la révolution silencieuse
RECRUTEMENT
Pénurie d'infirmiers : où en est-on ?