Selon une étude, plus de 3 millions de décès prématurés sont liés chaque année à la pollution atmosphérique extérieure. C'est plus que le nombre de décès liés au sida et au paludisme combinés. Ce chiffre inquiétant pourrait doubler d'ici à 2050, selon une étude publiée mercredi dans la revue scientifique britannique Nature. Si la qualité de l'air est maintenue à son niveau actuel, ce sont 7 personnes sur 10 000 qui pourraient mourir de manière prématurée en 2050, soit 6,6 millions de personnes au total, si on intègre les projections en matière de croissance démographique.
Lire la suite sur leparisien.fr
INTERNATIONAL
Infirmiers, infirmières : appel à candidatures pour les prix "Reconnaissance" 2025 du SIDIIEF
HOSPITALISATION A DOMICILE
Un flash sécurité patient sur les évènements indésirables associés aux soins en HAD
THÉRAPIES COMPLÉMENTAIRES
Hypnose, méditation : la révolution silencieuse
RECRUTEMENT
Pénurie d'infirmiers : où en est-on ?