Le dossier de mai de la revue Santé Mentale s'intéresse à la plainte somatique en psychiatrie. En effet, l'espérance de vie des personnes souffrant de troubles psychiques sévères est en moyenne écourtée de 15 à 20 ans et leur taux de mortalité est 3 à 5 fois supérieur à celui de la population générale. La majorité de ces décès est imputable à des causes somatiques. Pour des raisons multiples, l’accès aux soins somatiques est réduit et la prévention médiocre. Face à ce constat, la plainte somatique doit toujours interpeller les soignants en psychiatrie. À l’heure où le parcours du patient s’inscrit comme ligne directrice de l’organisation des soins, le travail en réseau s’impose !
EN BREF
Entendre la plainte somatique en psychiatrie
Publié le 29/05/2019
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Source : infirmiers.com
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