Alors que l’Assemblée nationale examinait mardi 10 et mercredi 11 mars la proposition de loi des députés Alain Claeys et Jean Leonetti sur la fin de vie, Judith Ascher nous a adressé le récit de la mort de son père François, urbaniste et sociologue, décédé en 2009. Il illustre les situations de « mal-mourir » qui persistent aujourd’hui en France.
La proposition de loi, dont le vote solennel est programmé mardi 17 mars, prévoit de rendre contraignantes pour les médecins les directives anticipées, ces consignes que chacun peut écrire sur ses choix de fin de vie. Il instaure en outre un droit à une sédation « profonde et continue » pour les patients en phase terminale.
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