La canicule de l'été a provoqué environ 1 500 morts de plus qu'une année normale, soit 10 fois moins que lors du record de 2003, a annoncé la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, vendredi 21 septembre sur CNews. Il n'y a pas eu d'excès majeur
de mortalité, ni de prise d'assaut des hôpitaux, a ajouté la ministre.
C'était entre 3 et 5% des passages aux urgences seulement qui étaient réellement liés à la chaleur, ce qui veut dire qu'en amont les médecins et infirmières, les communes se sont mobilisés.
Le nombre de morts liées à la canicule cet été est également moins important que ceux des canicules des dernières années, a ajouté la ministre de la Santé. En 2015, environ 3 000 décès supplémentaires avaient été enregistrés selon les autorités sanitaires. Neuf ans plus tôt, en 2006 – une année de canicule particulièrement sévère – une surmortalité d'environ 2 000 décès avait été constatée.Ça prouve vraiment que la prévention et la mobilisation dans tous les secteurs a porté ses fruits (...), mais c'est inexorable que les personnes très âgées aient malheureusement des complications
, a commenté Agnès Buzyn, qui réunit ce vendredi les acteurs mobilisés pendant la canicule.
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